Faire légion
POUR UN RÉVEIL DES AUTOCHTONES
Rodolphe CART
L'Occident va mal. L'Europe va mal. La France, surtout, va très mal. Que faire dans cette situation ? Cet essai propose, pour nous en sortir, un mythe mobilisateur aux traditions anciennes mais aux déclinaisons potentiellement nouvelles : « le mythe légionnaire » aboutissant, demain, sur un « État Légionnaire » qui pourrait sauver à la fois notre pays et ses autochtones, aujourd'hui en grave danger. Ressuscitant et redéfinissant un nationalisme français exigeant, passionné, social, antilibéral, souverainiste, identitaire et populaire, Rodolphe Cart participe intensément de ces jeunes générations ayant rompu avec les idéaux et les mensonges de la gauche progressiste, bourgeoise et mondialiste.
Quand la cité est sur le point de s'effondrer, c'est à la légion qu'on fait appel. Et pas n'importe laquelle : Celle qu'on doit former.
L'Occident va mal. L'Europe va mal. La France, surtout, va très mal. Que faire dans cette situation ? Cet essai propose, pour nous en sortir, un mythe mobilisateur aux traditions anciennes mais aux déclinaisons potentiellement nouvelles : « le mythe légionnaire » aboutissant, demain, sur un « État Légionnaire » qui pourrait sauver à la fois notre pays et ses autochtones, aujourd'hui en grave danger. Ressuscitant et redéfinissant un nationalisme français exigeant, passionné, social, antilibéral, souverainiste, identitaire et populaire, Rodolphe Cart participe intensément de ces jeunes générations ayant rompu avec les idéaux et les mensonges de la gauche progressiste, bourgeoise et mondialiste.
Quand la cité est sur le point de s'effondrer, c'est à la légion qu'on fait appel. Et pas n'importe laquelle : Celle qu'on doit former.
176 pages
176 pages
" Né en Haute-Savoie en 1993, Rodolphe Cart est diplômé en droit de l’Université Jean Moulin Lyon 3, après être passé par l’EPFL (École Polytechnique de Lausanne). Il n’hésite pas à faire sienne la phrase de Charles Péguy : « Tout est joué avant que nous ayons douze ».
Une image le marque profondément : celle du centre de son village natal. Il explique qu’il représente l’endroit qui concentre les trois monuments auquel il tient par-dessus tout. Tout d’abord, il y a le monument aux morts sur lequel est inscrit le nom de son arrière-arrière-grand-père Jean Cart, mort à l’ennemi en 1916 à Verdun.
Ensuite, il y a l’église, celle qui compte parmi les plus beaux monuments de l’art baroque savoyard. Ce monument religieux symbolise l’institution des baptêmes, des communions et des enterrements de toute une famille enracinée depuis plusieurs générations dans un même endroit.
Enfin, il y a aussi la salle communale où il passe de nombreuses heures au catéchisme, au club de ski, et aux fêtes qui sont le signe de la ferveur communautaire. Un fait marquant est à signaler durant ses années de lycée : une rencontre avec un professeur de philosophie. Il n’hésite pas à comparer cette rencontre à celle de Monsieur Naudy pour Péguy ou de Monsieur Germain pour Camus.
Venant d’une famille modeste culturellement, c’est ce professeur des classes préparatoires littéraires – faisant la route toutes les semaines depuis Lyon – qui pose dans les mains du lycéen les œuvres de Descartes, Kant et des philosophes grecs. C’est alors une révélation pour celui qui lisait si peu. À la suite de l’obtention de son master de droit, il revient dans sa région natale pour devenir charpentier dans une entreprise familiale. Bien que ces études lui aient plu, il éprouve le besoin de se ressourcer chez lui, dans un travail manuel, de logique et de création. Cependant, après quelques années, ayant continué à lire tout au long de son activité, il décide de trouver un emploi en lien à avec ses vraies passions qui sont la littérature et l’histoire des idées politiques. Vivant maintenant à Paris, Rodolphe travaille dans une maison d’édition. Il vient de publier Georges Sorel, le révolutionnaire conservateur (Éditions de la Nouvelle Librairie, avril 2023), puis Feu sur la Droite nationale ! (Éditions de la Nouvelle Librairie, septembre 2023). Il est un collaborateur régulier pour diverses revues dont Éléments, Front Populaire et Omerta. "
" Né en Haute-Savoie en 1993, Rodolphe Cart est diplômé en droit de l’Université Jean Moulin Lyon 3, après être passé par l’EPFL (École Polytechnique de Lausanne). Il n’hésite pas à faire sienne la phrase de Charles Péguy : « Tout est joué avant que nous ayons douze ».
Une image le marque profondément : celle du centre de son village natal. Il explique qu’il représente l’endroit qui concentre les trois monuments auquel il tient par-dessus tout. Tout d’abord, il y a le monument aux morts sur lequel est inscrit le nom de son arrière-arrière-grand-père Jean Cart, mort à l’ennemi en 1916 à Verdun.
Ensuite, il y a l’église, celle qui compte parmi les plus beaux monuments de l’art baroque savoyard. Ce monument religieux symbolise l’institution des baptêmes, des communions et des enterrements de toute une famille enracinée depuis plusieurs générations dans un même endroit.
Enfin, il y a aussi la salle communale où il passe de nombreuses heures au catéchisme, au club de ski, et aux fêtes qui sont le signe de la ferveur communautaire. Un fait marquant est à signaler durant ses années de lycée : une rencontre avec un professeur de philosophie. Il n’hésite pas à comparer cette rencontre à celle de Monsieur Naudy pour Péguy ou de Monsieur Germain pour Camus.
Venant d’une famille modeste culturellement, c’est ce professeur des classes préparatoires littéraires – faisant la route toutes les semaines depuis Lyon – qui pose dans les mains du lycéen les œuvres de Descartes, Kant et des philosophes grecs. C’est alors une révélation pour celui qui lisait si peu. À la suite de l’obtention de son master de droit, il revient dans sa région natale pour devenir charpentier dans une entreprise familiale. Bien que ces études lui aient plu, il éprouve le besoin de se ressourcer chez lui, dans un travail manuel, de logique et de création. Cependant, après quelques années, ayant continué à lire tout au long de son activité, il décide de trouver un emploi en lien à avec ses vraies passions qui sont la littérature et l’histoire des idées politiques. Vivant maintenant à Paris, Rodolphe travaille dans une maison d’édition. Il vient de publier Georges Sorel, le révolutionnaire conservateur (Éditions de la Nouvelle Librairie, avril 2023), puis Feu sur la Droite nationale ! (Éditions de la Nouvelle Librairie, septembre 2023). Il est un collaborateur régulier pour diverses revues dont Éléments, Front Populaire et Omerta. "
L'Occident va mal. L'Europe va mal. La France, surtout, va très mal. Que faire dans cette situation ? Cet essai propose, pour nous en sortir, un mythe mobilisateur aux traditions anciennes mais aux déclinaisons potentiellement nouvelles : « le mythe légionnaire » aboutissant, demain, sur un « État Légionnaire » qui pourrait sauver à la fois notre pays et ses autochtones, aujourd'hui en grave danger. Ressuscitant et redéfinissant un nationalisme français exigeant, passionné, social, antilibéral, souverainiste, identitaire et populaire, Rodolphe Cart participe intensément de ces jeunes générations ayant rompu avec les idéaux et les mensonges de la gauche progressiste, bourgeoise et mondialiste.
Quand la cité est sur le point de s'effondrer, c'est à la légion qu'on fait appel. Et pas n'importe laquelle : Celle qu'on doit former.
L'Occident va mal. L'Europe va mal. La France, surtout, va très mal. Que faire dans cette situation ? Cet essai propose, pour nous en sortir, un mythe mobilisateur aux traditions anciennes mais aux déclinaisons potentiellement nouvelles : « le mythe légionnaire » aboutissant, demain, sur un « État Légionnaire » qui pourrait sauver à la fois notre pays et ses autochtones, aujourd'hui en grave danger. Ressuscitant et redéfinissant un nationalisme français exigeant, passionné, social, antilibéral, souverainiste, identitaire et populaire, Rodolphe Cart participe intensément de ces jeunes générations ayant rompu avec les idéaux et les mensonges de la gauche progressiste, bourgeoise et mondialiste.
Quand la cité est sur le point de s'effondrer, c'est à la légion qu'on fait appel. Et pas n'importe laquelle : Celle qu'on doit former.
176 pages
176 pages
" Né en Haute-Savoie en 1993, Rodolphe Cart est diplômé en droit de l’Université Jean Moulin Lyon 3, après être passé par l’EPFL (École Polytechnique de Lausanne). Il n’hésite pas à faire sienne la phrase de Charles Péguy : « Tout est joué avant que nous ayons douze ».
Une image le marque profondément : celle du centre de son village natal. Il explique qu’il représente l’endroit qui concentre les trois monuments auquel il tient par-dessus tout. Tout d’abord, il y a le monument aux morts sur lequel est inscrit le nom de son arrière-arrière-grand-père Jean Cart, mort à l’ennemi en 1916 à Verdun.
Ensuite, il y a l’église, celle qui compte parmi les plus beaux monuments de l’art baroque savoyard. Ce monument religieux symbolise l’institution des baptêmes, des communions et des enterrements de toute une famille enracinée depuis plusieurs générations dans un même endroit.
Enfin, il y a aussi la salle communale où il passe de nombreuses heures au catéchisme, au club de ski, et aux fêtes qui sont le signe de la ferveur communautaire. Un fait marquant est à signaler durant ses années de lycée : une rencontre avec un professeur de philosophie. Il n’hésite pas à comparer cette rencontre à celle de Monsieur Naudy pour Péguy ou de Monsieur Germain pour Camus.
Venant d’une famille modeste culturellement, c’est ce professeur des classes préparatoires littéraires – faisant la route toutes les semaines depuis Lyon – qui pose dans les mains du lycéen les œuvres de Descartes, Kant et des philosophes grecs. C’est alors une révélation pour celui qui lisait si peu. À la suite de l’obtention de son master de droit, il revient dans sa région natale pour devenir charpentier dans une entreprise familiale. Bien que ces études lui aient plu, il éprouve le besoin de se ressourcer chez lui, dans un travail manuel, de logique et de création. Cependant, après quelques années, ayant continué à lire tout au long de son activité, il décide de trouver un emploi en lien à avec ses vraies passions qui sont la littérature et l’histoire des idées politiques. Vivant maintenant à Paris, Rodolphe travaille dans une maison d’édition. Il vient de publier Georges Sorel, le révolutionnaire conservateur (Éditions de la Nouvelle Librairie, avril 2023), puis Feu sur la Droite nationale ! (Éditions de la Nouvelle Librairie, septembre 2023). Il est un collaborateur régulier pour diverses revues dont Éléments, Front Populaire et Omerta. "
" Né en Haute-Savoie en 1993, Rodolphe Cart est diplômé en droit de l’Université Jean Moulin Lyon 3, après être passé par l’EPFL (École Polytechnique de Lausanne). Il n’hésite pas à faire sienne la phrase de Charles Péguy : « Tout est joué avant que nous ayons douze ».
Une image le marque profondément : celle du centre de son village natal. Il explique qu’il représente l’endroit qui concentre les trois monuments auquel il tient par-dessus tout. Tout d’abord, il y a le monument aux morts sur lequel est inscrit le nom de son arrière-arrière-grand-père Jean Cart, mort à l’ennemi en 1916 à Verdun.
Ensuite, il y a l’église, celle qui compte parmi les plus beaux monuments de l’art baroque savoyard. Ce monument religieux symbolise l’institution des baptêmes, des communions et des enterrements de toute une famille enracinée depuis plusieurs générations dans un même endroit.
Enfin, il y a aussi la salle communale où il passe de nombreuses heures au catéchisme, au club de ski, et aux fêtes qui sont le signe de la ferveur communautaire. Un fait marquant est à signaler durant ses années de lycée : une rencontre avec un professeur de philosophie. Il n’hésite pas à comparer cette rencontre à celle de Monsieur Naudy pour Péguy ou de Monsieur Germain pour Camus.
Venant d’une famille modeste culturellement, c’est ce professeur des classes préparatoires littéraires – faisant la route toutes les semaines depuis Lyon – qui pose dans les mains du lycéen les œuvres de Descartes, Kant et des philosophes grecs. C’est alors une révélation pour celui qui lisait si peu. À la suite de l’obtention de son master de droit, il revient dans sa région natale pour devenir charpentier dans une entreprise familiale. Bien que ces études lui aient plu, il éprouve le besoin de se ressourcer chez lui, dans un travail manuel, de logique et de création. Cependant, après quelques années, ayant continué à lire tout au long de son activité, il décide de trouver un emploi en lien à avec ses vraies passions qui sont la littérature et l’histoire des idées politiques. Vivant maintenant à Paris, Rodolphe travaille dans une maison d’édition. Il vient de publier Georges Sorel, le révolutionnaire conservateur (Éditions de la Nouvelle Librairie, avril 2023), puis Feu sur la Droite nationale ! (Éditions de la Nouvelle Librairie, septembre 2023). Il est un collaborateur régulier pour diverses revues dont Éléments, Front Populaire et Omerta. "